- FEW WORDS FOR YOU GUYS - Not many videos this month, we bo..

- FEW WORDS FOR YOU GUYS - Not many videos this month, we both needed a break. But we're back now, and posting should pick up again! Thanks for being here! ❤️


[English]
He likes to say he fantasizes about dominant women,
But it’s not a fantasy, it’s our reality.

Not the leather-and-whip clichés. No.
What he loves is a real woman. A woman who knows what she wants, who takes, who leads, who doesn’t wait for permission to chase her own pleasure.

So tonight, like many times before, I put him on his back.
I grabbed his legs, lifted them up, wide and open. He knows the position. He knows exactly what’s coming.

I looked at him. He looked at me. He knew. And so did I.
I fucked him, hard, holding his thighs like something I own. Because that’s what he is: mine.

No surprises, no hesitation, just our truth, simple, clear, unapologetic.

Every thrust, every grind of my hips, it’s me deciding. Me in control.
And him, eyes closed, fists gripping the sheets, taking it all.
Not out of weakness, but because he trusts me completely. Because he loves it.

It’s not a role reversal. It’s not symbolic. It’s just logical.
I never needed a man to give me power, I’ve always had it.
He’s just honest enough to surrender to it. In the most explicit way possible.

And me? I enjoy it. I dominate without raising my voice. I fuck without asking.
I take him, again, and again.

Because in this couple, I’m the one who makes love.

[Français]
Il aime dire qu’il fantasme sur les femmes dominantes,
Mais ce n’est pas un fantasme, c’est notre quotidien.

Pas les clichés en cuir et chaînes, non. Ce qu’il aime, c’est une vraie femme. Une femme qui sait ce qu’elle veut, qui prend, qui dirige, qui n’attend rien d’autre que son propre plaisir.

Alors ce soir, comme souvent, je l’ai mis sur le dos,
Je lui ai attrapé les jambes, je les ai levées, bien ouvertes, bien exposées. Il connaît la position. Il sait ce qui vient ensuite.

Je l’ai regardé. Il m’a regardée. Il savait. Et moi aussi.
Je l’ai baisé, sauvagement, en maintenant ses cuisses comme on garde ce qui nous appartient. Parce que c’est ce qu’il est, à moi.

Pas de surprise, pas de faux jeu, juste notre vérité, simple et assumée.

Chaque va-et-vient, chaque pression de mon bassin, c’est moi qui décide. C’est moi qui mène. Et lui, les yeux fermés, les mains crispées sur les draps, il prend tout.
Pas par faiblesse, mais parce qu’il me fait entièrement confiance, parce qu’il aime ça.

Ce n’est pas un renversement, ce n’est pas symbolique, c’est simplement logique. J’ai jamais eu besoin qu’un homme me "laisse" le pouvoir, je l’ai toujours eu.
Il fait juste que le reconnaître, dans la position la plus explicite possible.

Et moi ? Je savoure. Je domine sans élever la voix. Je baise sans permission. Je le prends, encore, et encore.

Parce que dans ce couple, c’est moi qui fais l’amour.